Apprendre en toute sécurité : Le chapitre nigérian de l’Internet Society a célébré la Journée pour un Internet plus sûr en organisant des ateliers sur la sécurité en ligne dans les écoles de tout le pays. Les représentants du chapitre ont parlé aux élèves de plusieurs sujets, dont les infox, les escroqueries en ligne, le phishing et le « clickbait ». Les ateliers de deux jours comprenaient des événements présentiels dans le respect des règles de distanciation sociale pour cause de COVID-19, ainsi qu’une discussion en ligne.
Internet au village : Le chapitre kirghize œuvre pour que le village de Zardaly, situé dans une région montagneuse et isolée du sud-ouest du pays, ait accès à Internet. Le projet a commencé par une étude détaillée de la région. Une fois celle-ci achevée, des transmetteurs radio seront commandés et installés. Le chapitre a également publié une mise à jour de son projet Ilimbox, un dispositif « Internet prêt à l’emploi » qui propose du matériel éducatif de base disponible sans connexion Internet. Ce dispositif a été installé dans 20 écoles.
Aucune inscription n’est nécessaire : Le chapitre de Hong Kong fait partie d’une coalition de groupes qui s’opposent à une proposition du gouvernement chinois visant à obliger les utilisateurs de smartphones à s’enregistrer en utilisant leur vrai nom. L’inscription en temps réel ne sera pas efficace pour lutter contre la criminalité et pourrait entraver la recherche scientifique, a déclaré le chapitre. « Le système d’utilisation de noms réels ne peut pas empêcher que des crimes soient commis en utilisant des numéros internationaux se faisant passer pour des numéros locaux. En outre, il ne fera qu’augmenter le risque que des criminels volent les cartes téléphoniques des citoyens et intimident ces derniers, qui pourraient devenir alors des boucs émissaires », selon le chapitre.
Enseigner la gouvernance : Le chapitre d’Haïti a parrainé un atelier sur la gouvernance de l’Internet, dans le but de rassembler des personnes du gouvernement, de la société civile, des entreprises et d’autres groupes de parties prenantes pour « interagir et construire un terrain d’entente autour d’une approche de la gouvernance de l’Internet axée sur le public ». Les participants devraient pouvoir « participer à des débats sur la gouvernance de l’Internet aux niveaux national, régional et mondial ».
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