Prêtons main-forte : le chapitre du Mali de l’Internet Society s’efforce d’aider les femmes qui ne maîtrisent pas le numérique en leur enseignant les bases de l’Internet. Le chapitre propose des formations pour aider ces femmes, y compris celles handicapées, à gagner un revenu grâce à des services en ligne comme Facebook et WhatsApp. Parmi les participants, on compte des exploitants de petites entreprises, notamment des traiteurs et des coiffeurs.
Réseaux antisociaux : Une enquête récente du chapitre israélien de l’Internet Society (l’Association israélienne de l’Internet) a révélé qu’environ la moitié des habitants du pays s’abstiennent de répondre sur les réseaux sociaux par crainte d’être confrontés à des réactions violentes. L’enquête a également révélé que 86 % des Israéliens pensent que le discours sur les réseaux sociaux est violent, et 80 % estiment que les personnalités publiques et les hommes politiques partagent un discours violent sur les réseaux sociaux.
Parlons gouvernance : Ruben Brave, membre du conseil d’administration du chapitre néerlandais, a récemment été invité par le ministère des Affaires étrangères et le groupe de réflexion FreedomLab à prononcer un discours sur la gouvernance de l’Internet ainsi qu’à répondre à une récente prise de position. Il s’est concentré sur la reconnaissance des droits de l’homme lors des débats sur la gouvernance de l’Internet. « (Il convient d’) Investir à nouveau dans la promotion explicite des droits de l’homme dans le cadre de la refonte et de la gestion des protocoles Internet en mettant des personnes et des ressources à la disposition des institutions du savoir ainsi que dans la formation des fonctionnaires à une gouvernance de l’Internet qui tienne compte des droits de l’homme », a-t-il déclaré.
La dernière frontière: le groupe de réflexion sur les réseaux interplanétaires a publié un bulletin d’information reprenant les commentaires de Vint Cerf, pionnier de l’Internet et membre du conseil d’administration de l’IPNSIG. L’accent mis par le groupe sur les réseaux spatiaux arrive à point nommé, a-t-il écrit. « La commercialisation de l’espace n’est pas nouvelle, étant donné que les satellites de communication existent depuis 1962, date du lancement de Telstar 1. Mais l’ambitieux projet Starlink d’Elon Musk et le rythme auquel SpaceX lance des véhicules avec et sans équipage mettent en évidence une « ruée vers l’espace » qui fait écho aux « ruées vers les terres » de la fin des années 1800 en Oklahoma et ailleurs », a-t-il écrit.
Coup de projecteur sur le programme Fundamentals : Le chapitre panaméen demande instamment à ses membres de s’inscrire à l' »Internet Society Fundamentals », un programme de formation destiné aux personnes qui souhaitent utiliser leurs connaissances et leurs compétences pour avoir un impact au niveau local. « Croyez-vous en un Internet qui inspire le développement et le progrès ? », a déclaré le chapitre. « Si vous avez répondu par l’affirmative… votre heure de gloire est arrivée ! »
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